Randonneurs, préparez-vous, cet article risque de vous donner mal aux pieds rien qu’en le lisant ! Il est mythique, il est long de 4250 kilomètres et relie la frontière mexicaine à la frontière canadienne. Oui, nous parlons bien du Pacific Crest Trail (PCT), un sentier de grande randonnée, qui - vous l’aurez compris - est situé aux Etats-Unis et est à l’honneur dans cet article. Nous vous expliquons en quoi consiste cette expédition hors-du-commun et pourquoi ça vaut le coup de la réaliser.
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Un des plus grands sentiers au monde tout simplement. Il traverse trois états américains : La Californie, l’Oregon et l’état de Washington et forme avec le Continental Divide Trail et le sentier des Appalaches le Triple Crown of Hiking. Le Pacific Crest Trail traverse ainsi sept parcs nationaux américains ainsi que 25 forêts.
Plus de 300 randonneurs - qu'on appelle les « thru-hikers » - se lancent, chaque année, dans cette expédition et tentent de réaliser le sentier dans son intégralité. Seulement 180 rejoignent la ligne d’arrivée. L’expédition complète dure entre 4 et 6 mois, avec une moyenne de 30 kilomètres parcours quotidiennement, pour la majorité des randonneurs. Afin d'optimiser vos chances de réussir et d'atteindre la frontière canadienne, il est fortement conseillé de partir à la fin avril, début mai grand maximum, pour bénéficier des meilleures conditions météorologiques sur la parcours. Ainsi, vous éviterez les chaleurs écrasantes et la sécheresse au départ dans le Sud de la Californie et arriverez au Canada avant le début de l'hiver et des premières lourdes chutes de neige.
Premier tronçon à parcourir dans cette expédition : les 1120 kilomètres de distance séparant la ville de départ, à la frontière mexicaine, Campo, et le centre de la Californie. Déserts et hautes montagnes seront le décor de cette première partie, durant laquelle vous serez peut-être confronté à la sécheresse des points d’eau sur le parcours et aux fortes chaleurs caractéristiques de la région.
Il s’agit ensuite de traverser la Californie jusqu’au Nord pour entrer dans l’Oregon. Cette portion de route est une des plus isolées et époustouflantes du parcours, car le chemin ne croise aucune autre route sur près de 320 kilomètres. Le sentier alterne ascension de sommets et descentes dans les plus profonds canyons des Etats-Unis. Vous aurez ainsi tout autant l’occasion de gravir le Mont Whitney, situé à 4417 mètres d’altitude, que de plonger dans le Kings Canyon, le plus profond des USA. Le sentier traverse le John Muir Wilderness, zone pure restée à l’état très sauvage et particulièrement protégée ainsi que le très célèbre Yosemite Park, le deuxième parc le plus ancien de l’histoire américaine qui présente d’impressionnantes chutes d’eau. Au nord de la Californie, le décor change radicalement des vastes étendues désertiques et se transforme en forêts luxuriantes, dans un climat plus tempéré. Avant de rejoindre l’Oregon, le sentier continue sur la Chaîne des Cascades, peuplée d’anciens volcans éteints.
Si vous en êtes arrivé là, vous avez déjà franchi la moitié du parcours. L'itinéraire se poursuit désormais à travers l’Oregon. Traversant des forêts primaires, peuplées de pins Douglas, de cerfs, de fleurs sauvages, le sentier devient beaucoup moins exigeant physiquement car les dénivelés seront beaucoup moins marqués. Vous verrez sur le chemin le Crater Lake qui est un des lacs les plus profonds dans le monde, le Mont Jefferson et le Mont Washington avant d’arriver aux portes de l’Etat de Washington, sur le Bridge of the Gods (Pont des Dieux) pont traversant la Columbia River.
La dernière partie de cette expédition se fait dans l’Etat de Washington, dans lequel on retrouve un décor alpin et minéral, marqué par la présence de très nombreux glaciers et étendues de neige. Vous aurez l’occasion de voir le Glacier Peak Wilderness et de passer au pied du Mont Rainier (4392m). Cette grande traversée s’achève au Monument 78, situé à la frontière canadienne.
Le Pacific Crest Trail, vous vous en doutez, nécessite un minimum de préparation physique mais aussi technique.
Le Pacific Crest Trail (PCT) traverse 7 parcs nationaux américains, pour lesquels il faut s'affranchir d'une taxe de passage et de séjour. Un permis spécial pour « Thru Hiker » existe et permet de parcourir tous les parcs situés sur le Pacific Crest Trail, sans encombrements. Il faut déposer une demande très longtemps à l'avance ! Seule exigence pour l’obtenir : parcourir plus de 500 miles sur le PCT en une seule saison. D’autres permis existent aussi pour des plus courtes distances.
Outre le droit de randonner dans des endroits préservés, il vous faudra également vous munir d’un visa américain (car l’expédition dure plus de trois mois) ainsi que d’un visa pour entrer au Canada (puisque la réelle fin du parcours se situe à 11 kilomètres après le Monument 78, dans le premier village).
Enfin, pensez également à vous munir d’un Fire Permit pour vos bivouacs en Californie afin de pouvoir allumer vos feux.
Prévoyez un sac à dos technique et confortable dont la charge repose sur vos hanches et non sur vos épaules. Faites attention à ce que votre tente soit bien étanche et légère, pour éviter les désagréments si les conditions météorologiques n’étaient pas favorables ainsi qu’un sac de couchage chaud, vous gardant bien au sec si les températures avoisinent les 0°C.
Pensez également à emporter :
Tous les randonneurs sur le Pacific Crest Trail (PCT) doivent se munir d’un bear canister afin de protéger leur nourriture des éventuels ours qui croiseraient votre chemin.
Ne prenez vraiment que ce qui vous est indispensable pour cette grande randonnée, car n’oubliez pas qu’en plus des trente kilomètres parcours de manière quotidienne, il vous faudra porter toute votre maison.
Pensez également à télécharger avant de partir l’application gratuite Pacific Crest Trail, proposée par Halfmile pour connaître à tout moment votre position sur la carte et à retrouver votre parcours si vous êtes perdu. L’application permet également d’indiquer les points d’eau aux alentours, les points d’intérêts et autres informations utiles, pour réaliser cette grande aventure dans les meilleures conditions.
Vous savez maintenant tout sur ce chemin de randonnée mythique. Vous n'osez pas encore franchir le pas ? Commencez par regarder le film Wild, biopic sorti au cinéma en 2014 sur la traversée du Pacific Crest Trail (PCT) par Cheryl Strayed. Il vous donnera un bon aperçu des vastes étendues sauvages qui vous attendront lors de ce périple ! Sinon, vous pouvez aussi commencer par des randonnées plus courtes et tout aussi belles, en France ! Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site Kazaden.Com et découvrez les plus belles randonnées de notre pays.
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Vous recherchez une activité à réaliser dans le cadre d'un teambuilding pour resserrer les liens dans votre entreprise, association ou tout simplement entre amis ? Sur Kazaden.com, nous vous proposons de découvrir les meilleures activités teambuilding ! Que vous soyez plutôt canyoning, VTT ou randonnées en raquettes, il y en a pour tous les goûts ! Dans cet article, nous revenons sur les meilleures activités nature à réaliser en groupe dans les plus beaux spots !
Rien de tel que le canyoning pour faire le plein d’adrénaline entre collègues, les amateurs de sensations fortes apprécieront ce sport riche en émotions ! Très diversifié, il mélange escalade facile, nage en eaux vives, sauts variant de 1 à 15 mètres, tyroliennes, toboggans aquatiques naturels et descentes en rappel. L’idéal pour montrer à vos acolytes de quoi vous êtes capable ! Chez Kazaden, nous avons un petit faible pour deux lieux atypiques : le Canyon du Chassezac et le Canyon des Ecouges.
Niché en plein cœur de la Lozère, celui que l’on surnomme « la perle des Cévennes » propose un parcours très varié, dans un milieu naturel exceptionnel. Toboggans, sauts, nages, descente en rappel : un programme polyvalent au cœur de gorges profondes de 300 mètres. Bonne nouvelle, ce canyon ne présente pas de difficultés particulières. Il est donc parfait pour une journée ludique entre collègues. Une seule condition : savoir nager !
Faire une sortie canyoning dans les Cévennes
Ce canyon mondialement connu est un vrai terrain de jeu pour les sportifs aguerris. C’est aussi l’un des plus beaux canyons d’Europe… Si vous et votre équipe êtes de vrais mordus de sensations fortes, nous vous vous conseillons cette expérience sportive inédite. Composé d’une partie haute et d’une partie basse, le parcours se destine à un public en bonne condition physique car il vous faudra enchaîner des efforts physiques pendant près de 5 heures. La première partie recèle de cascades vertigineuses, dont une chute impressionnante de 80 mètres ! Et si vous en voulez encore, la deuxième partie vous attend avec ses sauts, tyroliennes et toboggans.
Faire une sortie canyoning dans la région grenobloise
Pour un moment 100% convivial, nous vous suggérons le rafting ! A bord d'un radeau pneumatique et à l'aide d'une pagaie (et de votre moniteur), vous naviguerez en eaux vives, sur des rapides, au cœur de somptueux paysages. Une belle occasion de partager un véritable temps fort ! Bon à savoir, pas besoin d’être un pro du raft : votre moniteur saura faire face à toutes les situations et il s’adaptera au niveau au niveau de son équipe. Nous vous conseillons quelques rivières bien sympathiques pour s’adonner à ce sport de vitesse, l'Ubaye et la Durance.
Pour vous échapper de la routine quotidienne, nous vous recommandons vivement la rivière de l’Ubaye. Elle vous réserve de fabuleux instants à savourer en équipe au beau milieu de la nature. Vous voguerez entre torrents et forêts, accompagné de votre moniteur, qui vous fera découvrir les joies de ce sport de vitesse. Pratique, l’Ubaye est constituée de différents parcours adaptés aux saisons, ainsi qu’à vos envies. Au printemps, nous vous suggérons la Thuiles-Fresquière et ses incroyables vagues.
Entre jolies plages et rapides, la Durance est une rivière propice à la découverte du rafting. Tout au long de votre descente, vous pourrez admirer son paysage diversifié, composé de falaises, cheminées de fées et de nombreux animaux sauvages. Pour tester votre esprit d’équipe, nous vous conseillons tout particulièrement le rafting en autonomie. Ce concept rare vous fera vivre une expédition inédite, où vous devrez apprendre à vous coordonner en groupe. En cas de besoin, votre moniteur sera juste derrière.
Organiser une sortie rafting avec Kazaden
Vous souhaitez trouver une activité d’équipe mélangeant sport et découverte ? Le ski de randonnée est votre allié. Il vous permet de vous dépenser loin des foules, au cœur d’immenses espaces enneigés. Vous serez accompagné par l’un de nos guides qui vous fera partager sa passion de la montagne. Focus sur l'un des paradis des randonneurs à ski : la Haute Savoie.
La Haute Savoie dispose d’un patrimoine splendide, au grand bonheur des randonneurs (et de nos skieurs). Ses espaces sauvages et pentes enneigées vous offriront des souvenirs mémorables à partager avec vos coéquipiers. Vous apprendrez les différentes techniques de progression pour devenir un vrai pro de la glisse en toutes circonstances !
Découvrir le ski de randonnée avec un guide
Activité n°4 dans notre TOP 10 des activités teambuilding : le canoë-kayak ! Le canoë et le kayak se pratiquent aussi bien en mer, qu'en montagne ou en eaux vives. Leur différence ? Dans un canoë, on s’installe à genoux, les jambes pliées en arrière et l’on pagaie uniquement d’un côté. Quant au kayak, il requiert d’être assis avec les jambes allongées et de pagayer à droite et à gauche avec une double pagaie. Activité parfaite pour un teambuilding réussi, car chacun doit mettre la main à la pâte ! En France, nous vous conseillons de partir dans trois spots incontournables : Les Gorges du Tarn, les Gorges de l'Ardèche et les Gorges du Verdon. Vous verrez, vous ne serez pas déçu(e) !
Véritable phénomène géologique, les Gorges du Tarn sont le fruit d’un canyon creusé par une rivière coincée entre deux plateaux. Elles atteignent jusqu’à 600 mètres de profondeur et se déploient sur des kilomètres de rivière, le long des gouffres. Nos kayakistes apprécient tout particulièrement ce lieu pour son cadre paradisiaque et ses descentes intenses. L’endroit idéal pour montrer vos prouesses à vos acolytes !
La crème de la crème pour les sports d’eaux vives ! Petit bijou de la nature, les Gorges du Verdon en imposent avec leurs eaux bleu turquoise et leurs gigantesques falaises de roche calcaire. Elles vous donneront l’occasion d'évoluer sur la rivière en canoë ou en kayak, au milieu d’une faune et d’une flore exceptionnelles. En bref, pour nous c’est LE lieu pour créer une vraie synergie d’équipe.
Organiser une sortie en canoë-kayak avec Kazaden
Dernier spot incontournable pour les adeptes du canoë-kayak : les Gorges de l’Ardèche. Lovée entre canyons et falaises de plus de 300 mètres, l’Ardèche s’étend sur une trentaine de kilomètres de gorges creusées dans un plateau calcaire. Le parcours s’adapte aussi bien aux néophytes qu’aux initiés. Envie d’adrénaline ? Nous vous conseillons de partir pendant les périodes d’avril à mai et de septembre à octobre. Le niveau de l’eau et les rapides sont plus importants.
Besoin d’un bon bol d’air frais, loin de l'agitation urbaine ? Les randonnées en raquettes à neige vous permettront d'explorer des chemins inédits, au beau milieu de paysages immaculés et sauvages. Vous vivrez alors des moments d’intense complicité en compagnie de votre équipe, bercés par le silence de la nature. Si vous êtes en recherche de dépaysement absolu, nous vous conseillons ce site en particulier :
Le petit plus de ce domaine ? 75 kilomètres de pistes balisées mais non tracées, un très vaste domaine pour le coup, à découvrir absolument en groupe ! On se sent tout petit face à cette blancheur à perte de vue… Prévoyez d’apporter vos propres raquettes car il n’est pas possible d’en louer sur place.
Organiser un teambuilding "raquettes à neige"
La via ferrata se situe à mi-chemin entre la randonnée et l’escalade. Peu importe votre domaine de prédilection, c’est un sport accessible à tous ! Le parcours dispose d'échelles, de câbles et de rampes pour assurer votre progression en toute sécurité le long des roches. Un casque et un baudrier vous seront fournis, a priori, sur place avant de vous lancer dans l'aventure. Cette activité, souvent méconnue du grand public, vous permet pourtant de découvrir des itinéraires peu empruntés par le randonneur traditionnel et d'ajouter un peu de piment à votre journée (car ne l'oubliez pas, vous prendrez quand même un peu de hauteur !). Chez Kazaden, la via ferrata fait partie de nos sports favoris. Notre via ferrata du moment : la via ferrata du Grand Bec.
Si vous êtes adepte de grands espaces, ce parcours est fait pour vous ! La via ferrata du Grand Bec fait partie des trois plus hautes via ferratas aux alentours de Grenoble. Elle s’adresse aux sportifs en bonne condition physique car elle est composée d’une partie assez technique. Petit conseil Kazaden : prévoyez des vêtements chauds pour les hauteurs.
Bien qu’il soit pratiqué en autonomie, le VTT de descente n’en est pas moins un excellent sport à savourer en équipe ! Comme son nom l’indique, le VTT de descente se pratique sur tous types de terrains. L'objectif ? Descendre des pentes plus ou moins raides en station de haute et moyenne montagne, l'occasion de traverser de très belles forêts ! Chez Kazaden, nous y voyons une occasion de se challenger personnellement et d’entraîner ses coéquipiers dans une aventure sans pareil. Débutant ou expert, il existe une large gamme de vélos adaptés à votre niveau ainsi que des terrains de jeu plus ou moins complexes. Côté destination, les Alpes restent pour nous la région numéro un pour ce sport d’adrénaline.
Le domaine des 2 Alpes s’étend sur 90 km de descente répartis sur 21 pistes. Il vous permet de « rider » parmi les glaciers, rochers, prairies, forêts… et de profiter d’un maximum de sensations fortes. Le terrain est aménagé de façon à ce que vous puissiez réaliser des virages relevés et filer à toute vitesse. Si vous êtes un vrai pro du VTT, nous vous conseillons la descente de Venosc : 3 km de descente, 830m de dénivelé négatif, de quoi descendre un bon moment sans se poser de questions ! Nous suggérons aux moins casse-cous de se rendre du côté de la Vallée Blanche, excellente pour s’entraîner.
Découvrez nos plus belles sorties VTT
Besoin d’un shoot d’adrénaline entre collègues ? Venez tester le ski hors-piste en compagnie d'un guide ! La France regorge de lieux incontournables où poudreuse rime avec nature sauvage. Attention, cette activité n’est pas sans danger. Elle exige une bonne forme physique et un niveau technique suffisant pour s'aventurer hors des pistes. Que vous soyez débutants ou experts, nous vous engageons fortement à vous faire accompagner par un guide de haute montagne pour votre sortie. Au delà de l’aspect sécuritaire, le guide vous emmènera dans ses coins favoris et reculés, à la neige immaculée. Zoom sur deux spots qui valent le détour ....
Pour devenir un vrai pro du hors-piste, Chamonix est une destination propice. Vous y trouverez tout ce qu’il faut pour passer maître en la matière. La Vallée Blanche est l’un des principaux domaines, de quoi vous donner de bonnes sensations et quelques frissons. Avec ses 3800 mètres d’altitude et ses 2000 mètres de dénivelé bordant d’incroyables crevasses, c’est pour nous un circuit de première classe.
Val d’Isère est l’un des domaines les plus vastes de la région alpine. D’où ses nombreuses possibilités de hors-piste. Amateur ? S’abstenir ! Nous vous recommandons chaudement d’avoir un excellent niveau avant de vous lancer sur le Couloir des Pisteurs. Une belle compétition en perspective cela dit…
Trouver un guide pour votre sortie hors-piste sur Kazaden
Vous souhaitez troquer votre chaise de bureau contre un matériel de montagne ? Nos équipes vous recommandent la cascade de glace ! En hiver, de gigantesques parois de glace se forment dans les montagnes, ce qui donne la possibilité aux plus courageux de les escalader. Muni de vos crampons, vous découvrirez une discipline hors-du-commun à l’aide d’un guide de haute montagne. Il vous apprendra toutes les techniques et astuces à adopter. Même si vous êtes débutant, ce sport est tout à fait accessible. La Vanoise, les Ecrins, le Parc du Grand Paradis (Cogne) et les Vosges sont les régions de prédilection pour s'initier.
Le niveau de difficulté de ce circuit est relativement facile mais les paysages n’en restent pas moins somptueux. Vous passerez à côté de magnifiques cascades sur des sentiers quasiment vierges. Vous mettrez ainsi les pieds là où peu de personnes l’ont fait, en suivant les conseils avisés de notre guide. Une façon d’observer la montagne au plus près de son intimité…
Organiser une sortie cascade de glace
Le stage de survie est l’activité parfaite pour se la jouer Robinson Crusoé entre collègues. L’objectif ? Apprendre à s’adapter à son environnement et savoir faire face aux situations d’urgence. C’est également l’occasion de tester ses limites et de partager des moments inoubliables. Pour votre prochaine escapade, nous vous invitons à tester ces deux expériences hors-du-commun.
Le stage de survie en nature est un excellent moyen d’apprendre les valeurs de travail essentielles. Vous serez amené à agir en équipe, dans un milieu hostile à l’homme. Vous y apprendrez à construire un abri, faire du feu et vous nourrir, tout en profitant d’un cadre exceptionnel. Nos guides-instructeurs sauront vous aiguiller sur les bonnes mesures à prendre. Une excellente manière de relever vos défis personnels.
Si vous cherchez à devenir un vrai survivor, ce stage « commando » vous ira comme un gant. Vous serez encadré par d’anciens militaires, qui vous donneront tous les outils nécessaires pour construire un camp et le sécuriser afin d’échapper à l’ennemi. Il s’agit d’une épreuve très physique, impossible à réaliser sans une réelle cohésion de groupe. Une chose est sûre : vous ne verrez plus vos collègues sous le même jour ! Pour la grandeur de ses paysages, nous vous conseillons la région des Alpes pour réaliser votre premier stage de survie.
Si vous souhaitez organiser une sortie ou un séjour en teambuilding, n'hésitez pas à découvrir toutes nos activités ou séjours sur notre site Kazaden.com ou contactez-nous directement au 01 79 75 71 72 pour créer un projet sur-mesure !
A tous les amoureux du monde en matière du vol libre, si l’on se donnait rendez-vous entre le 22 et le 25 septembre 2016 ? Au programme vous sera proposé ce qui se fait de mieux actuellement le domaine du vol aérien en règle générale et plus particulièrement du parapente. Et que dire de cet événement incontournable qu’est l’Icarnaval, symbole flamboyant, coloré et ludique de ce temps fort qu’est la Coupe Icare ?
Reconnue mondialement par les spécialistes du vol et de plus en plus appréciée par les amateurs en herbe, la Coupe Icare s’est installée voilà maintenant 42 ans sur les terres de Saint Hilaire du Touvet, entre Chambéry et Grenoble.
Située à 1000 mètres d’altitude, Saint Hilaire du Touvet possède des atouts très intéressants pour la Coupe Icare : une altitude parfaite pour les pistes aménagées d’envol et d’atterrissage mais aussi un funiculaire reliant les différentes aires. Le site possède par ailleurs une expérience avérée dans l’accueil et l’organisation d’événements en rapport avec le vol libre. Etes-vous prêt à vivre des émotions fortes, à vous émerveiller devant les plus incroyables engins volants ? Bienvenue dans la plus grande manifestation de parapente et de vols au monde, bienvenue à la Coupe Icare !
Depuis mai 1974, la Coupe Icare est tout simplement la plus grande manifestation au monde pour les sports aériens. Amateurs de parapente, de delta, de montgolfière, de voltige, de wingsuit et autres acrobaties aériennes, c’est « the place to be » pour partager entre amis et passionnés le plaisir de voler et cet engouement pour l’extraordinaire. Le tout dans une ambiance festive où les déguisements, les rires et les couleurs fusent de toutes parts.
La Coupe Icare est un événement festif tout à fait unique au monde qui dure pendant 4 jours avec près de 10000 pilotes, environ 90000 visiteurs et plus de 1000 bénévoles.
Elle se déroule habituellement la 3e semaine de septembre chaque année près de la ville de Lumbin. En 2016, ce sera entre le 22 et le 25 septembre.
La Coupe Icare se segmente en différentes activités sportives toutes représentatives du vol aérien.
Selon vos affinités, vous pourrez ainsi découvrir :
Pour mieux comprendre l’engouement que la Coupe Icare suscite, voici un aperçu historique de son évolution depuis le milieu des années 70 jusqu’à nos jours. En mai 1974, 3 hommes - Michel Raibon, Daniel Raibon Pernoud et Pierre Martin - décident de créer la FFVL (Fédération française de vol libre) ainsi que le Delta Club : le vol en deltaplanes est né et l’engouement est quasi instantané. La 1ère Coupe Icare voit le jour quelques mois plus tard en accueillant 50 participants en compétition.
Le succès sera rapidement au rendez-vous, le nombre de participants gonfle à chaque édition et les épreuves prennent une ampleur internationale avec les 2nds Championnats du monde de Vol Libre. Les années 80 marquent l’aspect festif de la Coupe Icare.
Bien sûr, il existe des compétitions sportives de renom mais les sportifs et le public ont tissé un véritable lien avec cet évènement : ce sera l’arrivée des premiers déguisements, notamment lors de l’Icarnaval qui est LE concours de déguisements des pilotes de parapente mais aussi de la projection des premiers films de vol libre. Les années 90 et 2000 ont dessiné le visage de la Coupe Icare que l’on connaît aujourd’hui.
Aujourd’hui, la Coupe Icare s’est associée avec la région Rhône-Alpes, sa médiatisation et sa renommé ont largement dépassé le cadre national.
Le succès de la Coupe Icare ne serait rien sans le Parc naturel régional de la Chartreuse : celui-ci apparaît comme un spot idéal pour les amateurs de vols aériens mais aussi pour les amoureux de la nature. Faisant partie des 51 parcs naturels régionaux de France et avec une superficie de 76700 hectares, le Parc de la Chartreuse forme un formidable terrain de jeu pour les parapentistes. Le climat y est idéal durant l’été, la liaison entre les différentes aires est accessible et facilitée et les paysages vous laisseront sans voix. C’est naturellement l’endroit idéal pour les amoureux du vol aérien avec un dépaysement mais aussi un plaisir garantis.
La Coupe Icare accueille durant 4 jours différents spectacles de grande qualité, recensant le meilleur de l’activité des sports aériens.
C’est LE salon des sports aériens par excellence. Avec plus de 200 entreprises internationales qui œuvrent dans le domaine des sports aériens comme le parapente, le deltaplane, l’ULM ou le parachutisme, vous aurez l’opportunité de découvrir les stands de parapente et le Marché de l’occasion. Le salon Icare Expo est l’occasion de découvrir des nouveautés technologiques, de rencontrer des professionnels passionnés.
Dans cette édition 2016 se déroulera la 34e édition du Festival international du film de vol libre. Entre documentaires, fictions, reportages, récits d’aventures, courts et longs métrage, les Icare du cinéma sont axés autour d’un seul et même thème : le sport aérien, l’air, le vol aérien.
Des démonstrations aériennes vous laisseront bouche bée notamment avec le concours des meilleurs spécialistes internationaux. Que vous aimiez la voltige, le deltaplane, le parachutisme ou les cerfs-volants, vous assisterez aux meilleures formations au monde. Sans oublier les démonstrations de voltige de l’Armée de l’Air.
Voici le célèbre concours de déguisements des pilotes de parapente et de delta. Au menu, des émotions, du rire, de la fantaisie, des couleurs, des prouesses techniques, de la créativité ! Sûrement l’un des grands moments de la Coupe Icare !
Pour en prendre plein les yeux, venez admirer le rassemblement international de près de 30 montgolfières mais aussi des dirigeables, des dynabulles, etc.
Un défi motorisé avec les meilleurs pilotes de paramoteur du monde.
Entre la fanfare et les spectacles de rue, les ballons brésiliens dans le ciel de Saint-Hilaire, voici une invitation au rêve et à la poésie qui vous est proposée. Des décors orignaux viennent orner les rues de la Coupe Icare durant ces 4 jours.
Parce que les enfants aussi ont le droit de participer à cet événement festif qu’est la Coupe Icare, de nombreuses activités leur sont proposées pour s’initier à l’univers du vol aérien. Pour les plus manuels, des ateliers de fabrications d’objets volants ainsi que des concours d’avions en papier et de cerfs-volants seront accessibles toute la journée et pour les courageux, une démonstration de fauconnerie sera présentée.
C’est le salon des sports et des loisirs de plein-air avec des démonstrations de cerfs-volants, de kites, d’ULM (possibilité d’effectuer un baptême de l’air en ULM ou en hélicoptère).
La Coupe Icare a lieu du jeudi 22 septembre jusqu'au dimanche 25 septembre. L’entrée pour les adultes oscille entre 6 et 9 euros par personne. Plusieurs possibilités sont proposées avec le bracelet Coupe Icare valable 1, 2 ou 3 jours qui vous donne accès à plusieurs shows durant le week-end.
Différents moyens d’accéder à la Coupe Icare vous sont suggérés à l’instar de :
Pour tout renseignent utile :
Et voilà, vous savez tout sur cet événement incroyable qui se déroule dans un des plus beaux massifs de France ! Si vous aussi, vous souhaitez vous envoler, sur Kazaden.com, nous vous mettons directement en relation avec des moniteurs de parapente, diplômés qui vous feront découvrir, en toute sécurité, les joies de voler ! Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet en cliquant sur le lien ci-dessous ou contactez-nous directement par téléphone au 01 79 75 71 72. A bientôt dans les airs !
Découvrir le parapente sur Kazaden.com
Se voir pousser des ailes, ce n’est pas encore pour maintenant, mais en attendant vous pouvez tenter votre premier saut en tandem ou en solo (formation requise) et ainsi connaître vos premières sensations de chute libre.
Dans cet article, nous vous proposons un comparatif des prix entre les différentes écoles présentes en Ile de France. A noter cependant : en raison des deux aéroports Roissy-Charles de Gaulle et Orly, les zones de saut en parachute s’effectuent largement en dehors de Paris. Et oui, il faut prendre un peu de distance pour éviter les accidents ! Les principaux aérodromes sont à Péronne-Saint Quentin, à Montargis ou à Saint-Florentin. Comptez entre 1h30 et 2 heures de voiture pour chacun des lieux depuis Paris.
Toutes les écoles proposent au minimum les formules suivantes :
D’autres écoles proposent également des tests en simulateur de chute libre (soufflerie).
En général, les prix varient en fonction de la zone de saut ainsi que de la périodicité (semaine, weekends, vacances …). La période propice s'étale généralement de mi-février/début mars jusqu’à début novembre. Les sauts s’effectuent en journée, à partir de 8h/9h du matin jusqu’au coucher du soleil.
| Ecole de parachutisme | Lieux possibles de Saut | Saut en Tandem | Saut en Solo | Stage P.A.C |
|---|---|---|---|---|
| 321 Chute Libre | - Péronne-Saint-Quentin - Orléans - Normandie | 270€ (choix d'1 zone) ou 316 € (choix parmi les 3 zones) | 650€ | 1450€ |
| Saut en Parachute Paris | Péronne-Saint-Quentin | 230€ (semaine) ou 260€ (weekend) | 475€ | 1250€ |
| Parachutisme.fr | - Péronne-Saint-Quentin - Estrées-Mons - Montargis | 275€ | 450€ | 1250€ |
| Parachute Libre | - Péronne-Saint-Quentin - Saint-Florentin | 270€ | - | 1300€ |
| Paris Jump | Saint-Florentin | entre 199€ et 265€ | 465€ | 1300€ |
| Parachutisme Chute Libre | Péronne-Saint-Quentin | 230€ (semaine) ou 260€ (weekend) | 450€ | 1250€ |
| Envol Sensation | Péronne-Saint-Quentin | 260€ | - | - |
Ecole de parachutisme 321 Chute Libre :
Cette école propose des sauts dans trois aérodromes différents : au Nord de Paris à Péronne-Saint Quentin, au sud de la capitale vers Orléans, et sur une zone de saut proche des falaises d’Etretat en Normandie.
Les prix dans cette école varient, en particulier, sur le choix de la zone de saut. Les tarifs de 321 Chute libre sont les suivants :
Cette école propose également des baptêmes de l’air pour de jeunes enfants. A noter, cependant, que l’enfant devra avoir une taille suffisante pour porter le harnais et que les deux parents devront se déplacer pour signer une autorisation parentale sur place.
Si vous souhaitez plus d’informations sur ce centre, vous pouvez les contacter directement sur leur site internet 321 Chute Libre.
Sauter en parachute en Île-de-France
Ecole de parachutisme Saut en Parachute Paris :
Cette école ne propose que des sauts à partir de l’aérodrome de Saint-Quentin, situé à 1h30 environ de la région parisienne. L’aérodrome de Saint-Quentin est également proche de Lille, Amiens, Arras ou Compiègne.
Les prix de cette école varient suivant le choix de sauter en semaine ou en weekend. Particularité de ce site, ce dernier propose l’achat direct de Bon Cadeau Tandem à offrir à vos proches (ces derniers choisiront la formule souhaitée et la date).
Les tarifs de cette école sont les suivants :
Concernant le stage de formation, le prix affiché inclus la formation théorique durant 6 jours, la location de tous les équipements nécessaires (parachute, altimètre, combinaison …), les 6 sauts, la formation qui apprend à plier un parachute.
Pour la formation P.A.C, une licence de parachutisme est nécessaire et varie en fonction de l’âge : 65€ pour les moins de 26 ans et 135€ pour les plus de 26 ans.
Pour plus d’informations sur cette école, rendez-vous sur leur site ou contactez les directement par téléphone au 06 88 98 09 56.
Ecole de parachutisme Parachutisme.fr :
Parachutisme.fr est une école offrant la possibilité de sauter soit à Péronne-Saint-Quentin, à l’aérodrome d’Estrées-Mons, soit à Montargis (situé à 1h20 environ de la capitale).
Seule la base de Péronne-Saint-Quentin permet d’effectuer des stages P.A.C et les sauts en solo. La base de Montargis ne permet que les sauts en tandem.
Les tarifs appliqués dans cette école sont les suivants :
Cette école offrira bientôt la possibilité de tester le simulateur de chute libre (saut en soufflerie). Cette simulation peut se faire dès l’âge de 8 ans. En revanche, dépassé 60 ans, un certificat médical est obligatoirement demandé pour réaliser la simulation. Vous aurez 15 minutes de briefing sur la chute libre (positions à avoir, erreurs à éviter, conseils …) suivi de 2min30 de vol. Aucun parachute n’est donc requis pour cette expérience.
Pour plus d’informations sur cette école, rendez-vous sur leur site Parachutisme.fr ou contactez les directement, soit par téléphone au 07 60 03 12 34, soit par e-mail à info@parachutisme.fr.
Sauter en tandem près de Paris
Ecole de parachutisme Parachute Libre :
Cette école propose des sauts à l’aérodrome de Péronne-Saint-Quentin ou à Saint-Florentin (situé à 2 heures environ en voiture, au Sud-Est de Paris).
Les tarifs appliqués dans cette école sont les suivants :
Ces prix n’incluent pas la licence fédérale de parachutisme.
Cette école propose un simulateur de chute libre, situé au 199 route de Pontoise à Argenteuil (95). Pour 75€ la session de chute libre, l’école vous prêtera le matériel et vous bénéficierez d’un encadrement spécifique. Comptez environ 2 heures sur place pour une session.
Si vous souhaitez plus d’informations sur cette école, rendez-vous sur leur site internet Parachute Libre ou contactez-les par téléphone au 06 22 87 73 06.
Ecole de parachutisme Paris Jump :
Cette école ne propose des sauts en parachute qu’à partir de l’aérodrome de Saint-Florentin (89). Les prix varient ici en fonction de l’altitude à laquelle vous sautez de l’avion (impact fort sur la durée de la chute libre). Cette école propose également une formation à 15 sauts, vous permettant de prétendre au diplôme du Brevet A.
Les tarifs appliqués dans cette école sont les suivants :
Si vous souhaitez plus d’informations sur cette école, rendez-vous sur leur site internet Paris Jump ou contactez-les, soit par téléphone au 06 58 63 77 99 ou 06 82 53 98 20, soit par e-mail à contact@parisjump.com.
Ecole de parachutisme Parachutisme Chute Libre :
Cette école vous propose des sauts à partir de la base de Péronne-Saint-Quentin (Somme). Cette dernière pratique des prix dégressifs pour les sauts en tandem pour des groupes (à partir de 6 personnes et plus) et une variation tarifaire entre semaine et weekend.
Les tarifs appliqués dans cette école sont les suivants :
Les prix de la P.A.C n’incluent pas la licence-assurance fournie par le FFP (Fédération Française de Parachutisme).
Si vous souhaitez plus d’informations sur cette école, rendez-vous sur leur site internet Parachutisme Chute Libre ou contactez Gwenael Bagate, soit par téléphone au 06 82 69 33 24, soit par e-mail à info@chutelibre.net.
Tentez la chute libre aux alentours de Paris
Ecole de parachutisme Envol Sensation :
Envol Sensation ne propose que des sauts en tandem à partir de l’aérodrome de Péronne-Saint-Quentin dans la Somme.Les tarifs appliqués dans cette école sont les suivants :
Si vous souhaitez plus d’informations sur cette école, rendez-vous sur leur site internet Envol Sensation ou contactez-les, soit par téléphone au 06.08.30.48.42 ou au 06.35.50.68.26
La combinaison n’est pas obligatoirement fournie lors d’un saut en tandem. Nous vous conseillons donc de bien vous vêtir, pour éviter les éventuels accidents. En plein été, si vous vous situez dans une région bien ensoleillée et chaude, un simple t-shirt à manche longue avec un jean (pas trop moulant) et des baskets feront l’affaire. Pour les contrées plus froides, une petite polaire sera un plus.
Pour les filles, pensez à bien attacher vos longs cheveux pour éviter de passer trois heures devant la glace, pour dompter votre crinière !
Vous souhaitez faire le grand saut ? Rendez-vous sur Kazaden.com et choisissez votre zone de saut la plus adéquate, partout en France !
Faire le grand saut en Île-de-France
« Quand on partait de bon matin, quand on partait sur les chemins ... à bicyclette » Qui n’entend pas Yves Montand fredonner cette mélodie si connue à la radio et ayant bercé notre enfance ? Et bien, nous aussi, on se met au vélo et au tourisme ! Nous vous expliquons dans cet article, tout ce qu’il faut savoir pour se mettre à la pratique du cyclotourisme et nous espérons que vous franchirez le cap pour partir à la découverte des contrées reculées. Avec pour seul moyen de déplacement : votre cher vélo !
Le cyclotourisme, comme son nom l’indique, est un mélange de cyclo et tourisme, c’est-à-dire, faire du tourisme au moyen de son vélo, ou plus simplement voyager à vélo. C’est un néologisme créé il y a bien longtemps, en 1888 pour être précis, par Paul de Vivie, aussi nommé Vélocio, un précurseur en la matière, qui a défendu cette pratique dans sa revue « Le Cycliste ». Ce dernier a également écrit, de par son expérience personnelle, les célèbres 7 commandements pour rouler longtemps à vélo, grâce à une excellente hygiène alimentaire et sportive.
Alors bien entendu, le Tour de France ne rentre pas dans la catégorie du cyclotourisme. La notion de challenge sportif et de compétitions entre différents cyclistes est à proscrire dans cette notion. Ici, il n’est question, ni de vitesse, ni de vainqueurs, mais bien de voyager à son rythme en vélo. De la sortie à la journée au voyage sur plusieurs années, la pratique du cyclotourisme revêt diverses formes aussi intéressantes les unes que les autres. Vous pouvez réaliser une centaine de kilomètres à vélo pour visiter votre région, de même que réaliser le tour du monde en vélo : il s’agit bien de cyclotourisme.
C’est un nouveau type du voyage alternatif, autrefois prisé par des voyageurs « roots » qui partaient sans préparation, du jour au lendemain, vers de nouveaux horizons avec leur vieux vélo. Aujourd’hui, le grand public s’y intéresse fortement et les acteurs territoriaux ont parfaitement compris cette demande. Des milliers de pistes cyclables voient le jour en Europe (75 000 kilomètres de pistes vertes sont en construction sur tout le vieux continent), aux Etats-Unis (possibilité de rouler d’Est en Ouest et du Nord au Sud) et au Canada entre autres, permettant aux pays d’attirer un nouveau type de clientèle.
Si vous avez envie de tenter l’aventure, allez-y ! C’est une pratique qui permet de modeler son itinéraire, comme bon vous semble. Et de surcroît, de nombreux organismes ont vu le jour dernièrement, facilitant au maximum votre première expédition.
- Si vous voulez partir à la roots :
Vous aimez l’inattendu, dormir dans une tente à la belle étoile, vous perdre, rouler peu importe où la route vous mène, aimez la difficulté et la solitude : vous vous reconnaissez ? Et oui, une carte, un vélo, un duvet et c’est parti pour l’aventure. Pensez à vous munir d’un bon vélo, mais le reste, c’est vous qui décidez ! L’itinéraire, les étapes, votre logement (camping sauvage, chez l’habitant ...), vous êtes libre comme l’air. Si vous souhaitez un peu d’aide pour organiser votre périple, la Fédération Française de Cyclotourisme a mis au point une application pour vous aider sur les routes balisées en France.
- Si vous voulez partir en toute sécurité :
Des organismes, tels que Terres d’Aventures, Cyclogo ou Randovélo proposent des voyages à vélo organisés, permettant à des non-initiés, de réaliser leur première expédition à vélo en toute sécurité et sans désagrément. Différentes formules existent, vous mettant même à disposition un service pour porter vos bagages entre vos différentes étapes. Royal, non ? Vous aurez un interlocuteur pour vous conseiller en termes d’itinéraires et de matériel et se chargera de la réservation de votre logistique tout au long du parcours. Les voyages proposés sont des voyages thématiques, comme les Châteaux de la Loire ou la Route des Vins en Alsace, ce qui vous permettra de choisir votre destination sans à vous préoccuper de dessiner l’itinéraire.
Le plus important, bien évidemment : partir avec un bon vélo. Mais pas que ! Des sacoches spécifiques, accrochées de part et d’autre de vos roues, vous permettront de ranger vos affaires et les transporter durant votre périple.
Pensez également à vous munir de vêtements chauds et respirant tels que pantalons, shorts, t-shirts, softshell, sous-vêtements de sport ainsi que d’un coupe-vent respirant et déperlant en cas de pluie, de vent ou de neige.
Côté chaussures, des baskets suffiront, mais vous pouvez également vous munir de chaussures de marche si vous souhaitez ponctuer votre périple de randonnées pédestres.
Côté matériel, ne jamais oublier votre kit de réparation pour votre vélo (grattoir, démonte pneus, patchs autocollants ou rustine, outils multifonctions …). Il est essentiel d’en posséder au moins 1 par personne pour éviter les ennuis en cas de crevaison par exemple. N’oubliez pas votre tente, votre réchaud, votre duvet et un matelas gonflable pour un minimum de confort.
Alors certains partent avec leurs VTT ou VTC mais il existe aussi des Vélos de Grande Randonnée spécifiquement destinés à la pratique du cyclotourisme. Tout dépend de ce que vous souhaitez faire mais aussi de votre budget : petit tour d’un weekend ou long périple d’un an. Quelle est la différence ? A peu près tout, on vous dira : le prix, le confort, les freins, l’alliage des différents métaux, la robustesse du cadre, le guidon, la selle, les pneumatiques adaptés …
Il est essentiel de se poser quelques questions avant de partir, telles que : Combien pèsent mes bagages ? Y-a-t-il beaucoup de pentes et de descentes raides ? Où vais-je dormir ? Où vais-je poser mon vélo la nuit ? Les réponses à toutes ces interrogations vous aideront à équiper correctement votre vélo, à préparer au mieux vos bagages et à prévoir votre itinéraire.
Le poids du vélo est un élément essentiel à analyser, avant votre départ : certains métaux sont plus légers, plus résistants aux chocs. Si vous êtes assez chargé, pensez qu’il faudra – et notamment dans les montées – supporter votre poids, le poids du vélo ainsi que le poids de vos bagages. Pensez- à bien répartir le poids de vos bagages sur votre vélo : 30% à l’avant et 70% à l’arrière – et non l’inverse ! C’est un choix stratégique aussi bien pour la montée que la descente, car n’oubliez pas que le poids de votre chargement vous entraînera plus rapidement dans la pente. C’est pourquoi vos freins doivent également être adaptés à la pratique du cyclotourisme, afin de prévenir les accidents, parfois malheureux.
Des guidons en forme de papillons existent également pour vous assurer un maximum de confort : poser les bras sur des surfaces plates, changer le placement de vos mains etc.
Et la dernière question : Vélo à assistance électrique ou non ? Et bien tout dépend de vous, de votre âge et de votre condition physique ! Il n’y a pas de honte à utiliser un vélo électrique, l’effort est certes moins important, mais les kilomètres sont tout de même parcourus ! Et n’oublions pas que le cyclotourisme, c’est avant la pratique du vélo pour voyager, donc cela signifie qu’il faut se faire plaisir au maximum !
Nous vous conseillons, pour débuter, de partir quelques jours et d’allonger, chaque fois, votre périple. Partir 3 à 4 jours au début est bien suffisant pour mieux appréhender le cyclotourisme et découvrir les aléas de cette pratique. Apprendre à réparer son vélo, faire face aux imprévus (météo changeant brusquement, itinéraire erroné, routes accidentées ...), gérer le stress en voyage, la solitude et les baisses de moral, la fatigue physique : autant de contraintes qui ne sont pas forcément très évidentes à gérer lorsque vous partez en voyage, seul ou en groupe, avec comme unique moyen de transport, votre vélo.
Le mieux, et nous l’avons testé, c’est de partir dans une région qui vous plaise - Le Mont- Saint Michel, la Bretagne, la Bourgogne ou l’Alsace par exemple - et de commencer doucement, par une moyenne de 50 kilomètres par jour, si vous êtes sur des surfaces plates. Cela vous permettra de rejoindre vos différentes étapes sans stress, en prenant le temps de ponctuer vos journées par quelques visites et surtout de ne pas être exténué à la fin de votre périple. Ne commencez pas immédiatement par monter 3 cols de montagne en trois jours, cela risquerait de vous dégoûter de cette merveilleux pratique !
Et voilà, on espère que vous serez un prochain cyclotouriste, en tout cas on vous le souhaite, c’est un sport qui nous a conquis chez Kazaden. Fini les transports en commun, les embouteillages et la pollution. A nous la liberté !
Nous parlons beaucoup des différentes activités ou séjours que l’on peut réaliser en montagne comme sur le littoral ou dans les plaines. Pourtant, gravir un sommet ou arpenter des parois rocheuses sont des activités qui ne se réalisent pas sans l’accompagnement d’un professionnel diplômé, expert en la matière. C’est pourquoi, nous avons le plaisir, aujourd’hui, de vous présenter Pierrick, un de nos guides de haute montagne sur Kazaden qui vous parle de son métier de guide et de ses plus belles expériences en montagne.
Découvrez vite sa passion et son histoire. Et peut-être partirez-vous avec lui pour votre prochaine aventure ?
Je m’appelle Pierrick, je suis guide indépendant de haute montagne depuis 15 ans maintenant et originaire d’Annecy. Ingénieur de formation, j’ai décidé de me réorienter sur le métier de guide en montagne pour continuer à vivre ma passion. Je suis diplômé depuis 2004 et guide à temps plein depuis cette date.
Découvrez nos stages d'alpinisme Kazaden
Oui, mais pas depuis la petite enfance car mes parents ne sont pas du tout issus du milieu montagnard. Le goût de la montagne m’est venu assez tardivement, comparé à d’autres guides dont les parents exercent des métiers liés de près aux activités en montagne.
Pour ma part, j’ai découvert ce milieu avec des amis lors de randonnées pédestres dans les massifs environnant à l’âge de 15 ans. J’ai décidé ensuite de tenter d’autres sports, en commençant par l’escalade puis ensuite la pratique de l’alpinisme, du ski de randonnée et enfin la cascade de glace. Être en pleine nature, contempler des paysages extraordinaires et s’engager dans le sport m’apportent beaucoup de joie et de satisfaction personnelle. Partager mon expertise et mon engouement pour la montagne, c’est le facteur qui m’a décidé à devenir guide.
Alors à l’époque, la formation était complètement différente de ce qu’elle est maintenant. Avant tout, pour devenir guide, cela suppose d’avoir eu un passé d’alpiniste amateur le plus large possible. Dans les années 2000, avant même d’entrer en école, il y avait une sélection des candidats qui se déroulait sur une semaine, durant laquelle différentes techniques étaient évaluées. On devait donc montrer nos compétences et notre connaissance de la technique de cramponnage sur glace, de la technique d’escalade sur rocher avec des chaussons d’escalade mais également avec des chaussures de marche par exemple. Ensuite, une fois admis dans l’école, c’est un cursus qui se déroule sur 5 ans, 4 années d’apprentissage et d’évaluation puis 1 année de test.
J’ai deux souvenirs mémorables qui me viennent en tête, l’un concerne une expérience personnelle et l’autre une expédition vécue en tant que guide accompagnateur.
A titre personnel, mon premier plus beau souvenir était une ascension hivernale, que j’ai réalisée en janvier ou février 2004. J’étais avec un ami et nous avions décidé de gravir la face nord des Droites (4001 mètres d’altitude), dans le bassin d’Argentière, un des sommets du massif du Mont-Blanc. C’était une course difficile, très engageante et longue. L’ascension a duré 22 heures et c’était compliqué. Nous ne pouvions pas être plus que deux, car au-delà, nous aurions été incapables de gérer la sécurité. Mais nous avons surmonté les épreuves, coudes à coudes : une belle leçon d’amitié !
En tant que guide, bien entendu, c'est la première fois que j’ai emmené un couple en haut d’un massif, en juillet 2004. C’était une ascension mémorable car j’étais fraîchement diplômé et ça a été une réelle joie de partager mon expérience avec le couple que je guidais. L’ascension était peu difficile et peu technique, car du refuge au sommet nous avons mis 3h30, puis pour redescendre environ 4 heures. Il s’agissait du Mont de Gioberney (3 351 mètres d’altitude) dans le Parc National des Ecrins, situé juste au-dessus du refuge de la Pilate.
Réaliser une ascension en plein hiver est complètement différent d’une ascension en plein été. Déjà, les journées sont très courtes et donc par conséquent, de nombreuses parties s’effectuent obligatoirement de nuit. De plus, il fait très froid, le corps ne s’acclimate donc pas de la même manière. En revanche, il y a quand même des côtés positifs, dont le principal qui est la réalisation d’itinéraires sur glace. C’est beaucoup moins dangereux qu’en été, puisque le risque de chute de pierres est beaucoup plus faible.
Un des pires souvenirs, je pense, était un voyage à ski dans une station d’hiver, à Bansko en Bulgarie. J’accompagnais un groupe de personnes que je ne connaissais pas du tout au départ durant 7 jours et il s’est trouvé que nous n’avions pas les mêmes attentes, malheureusement. J’étais censé, à l’origine, leur montrer les techniques du ski de randonnée, puis ils ont voulu tester le ski hors-piste. Et je ne préfère même pas évoquer la suite.
Une des pires galères, ça a été de porter secours à une personne lors d’une ascension sur la Dent D’Hérens (4 171 mètres), sommet situé dans les Alpes valaisannes à l’ouest du Cervin, qui faisait partie d’une autre cordée. Suite à une importante chute de pierre, l’accident est arrivé et cette personne s’est retrouvée avec une fracture de l’humérus (NDLR : un des os qui à la base du bras). Je passe les détails de l’histoire…
Avec moi, vous pourrez vivre des expéditions atypiques, différentes de ce qu’on peut trouver habituellement, aussi bien en escalade qu’en alpinisme.
Côté escalade, je propose la découverte de ce sport avec une autre approche, c’est-à-dire ne pas chercher immédiatement la performance mais plutôt être dans le ressenti. Apprendre à respirer, à dépasser sa peur de la chute, à ressentir son corps, ce sont des éléments clés à maîtriser pour être à l’aise en falaise ou en grande voie.
Côté alpinisme, je propose des séjours pour partager des activités différentes ensemble, que vous soyez en couple, en famille ou entre amis. Par exemple, je propose une activité Tour du Mont-Blanc en 7 jours, que l’on peut réaliser soit en mode randonnée, soit en mode alpinisme facile. A votre guise !
La plupart de mes activités sont autour d’Annecy. J’ai décidé de rester implanté dans cette ville pour être ni trop proche, ni trop loin des montagnes. C’est également un lieu qui me permet de rejoindre différents massifs en un temps record ! On est à 1 heure de Chamonix, à 1h15 de la Vanoise, à 1h des Ecrins et non loin de Genève. Mais je me déplace également partout en Europe et dans le Monde (Grandes Canaries, Islande …).
Voir toutes les sorties proposées par Pierrick !
J’accorde énormément d’importance au relationnel, à la communication et à l’écoute des autres, afin de satisfaire aux mieux leurs attentes. Pour moi, le côté humain est tout autant important que le côté sportif. Il ne s’agit pas seulement d’un moment en montagne et de ce que nous faisons, mais aussi de qui nous sommes et de ce que nous voulons créer.
Je pense que ma plus belle expérience Kazaden était un raid à ski de trois jours, l’hiver dernier (2015), dans la Vallée Etroite, située dans la Vallée de la Clarée et reliée au village de Névache dans les Hautes-Alpes. J’accompagnais un groupe de 4 personnes, qui étaient parfaitement dans l’esprit Kazaden. Malgré une météo compliquée et une forte affluence, nous avons eu l’occasion d’être tous seuls dans les montagnes, grâce à un peu d’audace et une forte écoute dans le groupe. Trois superbes journées !
En escalade, ma première recommandation est de ne pas tout axer sur la force mais, avant tout, de travailler en profondeur sa gestion de l’équilibre, qui est la base pour progresser rapidement en escalade. La gestion de ses émotions et de sa peur, qui sont des éléments bloquants, est une maîtrise essentielle dans la pratique de l’escalade. Une fois que vous avez atteint le niveau 7 (niveau confirmé ++), commencez à travailler la force.
En alpinisme, je préconise de ne pas faire que suivre votre guide mais d’être dans une volonté d’apprentissage. Evaluer votre ascension, prendre du recul, discuter avec votre guide, alterner somme toute apprentissage et expérience : c’est la potion magique pour gagner en autonomie et en sécurité.
En montagne, vous serez amené à rencontrer vos limites et vos peurs : résistance au froid, au vent violent, aux tempêtes de neige, à la pluie, connaissance de la soif et de la faim mais également peur du vide, peur de tomber, peur de la mort tout simplement. Il faut en être conscient et se préparer au mieux pour que ça ne soit pas une surprise. Avec les équipements adéquats et le mental, la difficulté de votre expédition n’entravera pas la joie, le bonheur et le plaisir de découvrir des panoramas exceptionnels.
Vous souhaitez découvrir les activités du Pierrick ? Rendez-vous sur son profil Kazaden pour en connaître les moindres détails !
Chez Kazaden, nous proposons de multiples activités et séjours de pleine nature dont l'alpinisme et l'escalade. Envie d'en savoir plus ? Faites un petit tour sur notre site internet Kazaden.com en cliquant sur le lien ci-dessous ou téléphonez-nous directement au 01 79 75 71 72.
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La Dent de Crolles est un des sites favoris des habitants de la région grenobloise. Située à proximité de la petite ville de Crolles, dans la vallée du Grésivaudan, cette roche calcaire pointue se situe dans le massif de la Chartreuse, très connu pour son parc naturel réunissant une faune et une flore uniques, mais également pour le digestif du même nom !
Constitué essentiellement de calcaire et de karstique (ce qui explique la présence de multiples gouffres, grottes et résurgences), ce site culmine à 2 062 mètres d’altitude, ce qui en fait le deuxième massif le plus haut de la Chartreuse après Chamechaude, qui culmine à 2 082 mètres. Lorsqu'on atteint le sommet et la fameuse Croix de la Dent de Crolles, si le temps est au beau fixe, on peut apercevoir le Mont-Blanc au loin.
Sur le chemin, il n'est pas rare de croiser bouquetins, chamois, marmottes et parfois même des lynx, qui peuplent ce site d'exception.
La Dent de Crolles est le rendez-vous dominical des habitants de la région, souhaitant s’essayer à diverses pratiques sportives et notamment la randonnée. Le sentier classique forme une boucle, parfois abrupte, avec un dénivelé de 700 mètres environ.
A partir du parking, empruntez un petit chemin qui débute dans un petit bois avant d’arriver sur un plateau d'alpages. Comptez 45 minutes à 1 heure de marche pour atteindre l’embranchement de la randonnée, situé au Col des Ayes (1 538 mètres d’altitude). A ce stade, deux options s’offrent à vous : soit vous effectuez la boucle de la randonnée par le Trou du Glaz en premier (direction gauche) puis par le Pas de l’Oeille ; soit vous effectuez la ballade en sens inverse en commençant par le Pas de l’Oeille (droite) pour finir par le Trou du Glaz.
Si vous êtes sensible au vertige et peu correctement équipé pour randonner dans les cailloux (chaussures de marche montantes …), nous vous conseillons d’effectuer la randonnée dans le sens Pas de l’Oeille- Trou du Glaz, car la descente par le Pas de l’Oeille donne une sensation de vertige assez forte et vous risquez de déraper dangereusement sur les cailloux et éboulis divers.
La montée par le Pas de l’Oeille se négocie très bien. Elle débute par un plateau herbeux assez raide, puis de nombreux câbles vous aident dans les situations de grimpes raides lorsque vous avez atteint la roche. Quasiment tout en haut, à 5 minutes à pied du sommet, vous pouvez observer le fameux Oeille qui est une jolie petite aiguille de calcaire.
Surplombant la vallée du Grésivaudan, et faisant face au massif de Belledonne, la Dent de Crolles offre une vue panoramique sur tous les sommets environnants, Mont-Blanc inclus, si, par beau temps, vous avez la chance de l’apercevoir au loin.
Le retour se fait exclusivement en descente par le plateau nord de la Dent de Crolles, composé de nombreuses roches (et plusieurs trous) puis par le Trou du Glaz, où de nombreuses mains courantes vous aident à descendre les dalles rocheuses, souvent suintantes et polies par l’usure.
Nous vous déconseillons très fortement de réaliser cette randonnée en cas de pluie ou si un orage menace, car le sentier serait impraticable et très dangereux – les dalles étant déjà extrêmement glissantes par beau temps.
Attention, bien que peu la randonnée soit peu difficile, nous vous conseillons d’être extrêmement vigilants si vous emmenez des enfants ou si vous êtes assujetti au vertige, car les impressions de vide sont nombreuses et certains passages étroits sont délicats. Pour plus d’informations sur l’équipement de randonnée, rendez-vous sur notre article Bien s’équiper en randonnée.
La face Sud-Ouest de la Dent de Crolles est aussi un endroit de prédilection pour les adeptes de l’escalade. Une vingtaine de voies sont ouvertes dans les façades Sud-Ouest, Nord-Est et également sur le Rocher du Midi. Allant d’une cotation de 5c à 7a, les voies présentent des dénivelés compris entre 150 et 300 mètres (difficulté raisonnable) et s’adressent aux grimpeurs intermédiaires à chevronnés. Pour en savoir plus sur les équipements nécessaires, n’hésitez pas à consulter notre autre article Quels chaussons d’escalade choisir sur notre blog.
La Dent de Crolles est un site exceptionnel incontournable pour les amoureux de grottes souterraines ! Explorée par les très célèbres spéléologues et alpinistes Pierre Chevalier, Fernand Petzl et Annette Bouchacourt, la Dent de Crolles possède plus de 60 kilomètres de souterrains, composés de multiples galeries et de gouffres, un véritable labyrinthe pour celui qui ose s’y aventurer ! Une douzaine de gouffres et de grottes permettent d’accéder au cœur de cette roche de calcaire, dont les plus connus le Trou du Glaz, la Grotte du Guiers Mort, la Grotte Annette, la Grotte Chevalier et le P40. La Dent de Crolles est un site mondialement connu pour la spéléologie, à tester absolument !
De par sa falaise vertigineuse sur la vallée du Grésivaudan, la Dent de Crolles est un lieu de prédilection pour les sports aériens tels que le parapente ou extrêmes, du type base jump. La face Est, sur laquelle sont situées les voies d’escalade, est propice aux sauts de base jumpers chevronnés. Sur la façade ouest et nord ouest, la longue pente herbeuse est propice au décollage en parapente. Attention toutefois, la Dent de Crolles est soumise à des conditions venteuses et thermiques particulières, prenez toutes les précautions nécessaires avant de vous lancer en parapente ou en flying suit !
En hiver, la Dent de Crolles, recouverte d’un épais manteau neigeux, ravira également les adeptes des sports d’hiver du type randonnées en raquette. La randonnée en raquettes à neige s’effectue par le même sentier que la randonnée pédestre, c’est-à-dire par le Pas de l’Oeille et le Trou du Glaz. Parfois, à certains endroits, la neige n’est pas suffisamment abondante pour garder les raquettes aux pieds : prévoyez un sac à dos pour les porter ainsi que de bons bâtons de marche. Puisqu'il s'agit d'une grosse roche calcaire dominant la montagne, la Dent de Crolles n’est absolument pas abritée : n’oubliez donc pas de vous munir d’eau, crème solaire et surtout lunettes de soleil pour ne pas être aveuglé par les étendues neigeuses, scintillantes en soleil.
Depuis Grenoble, comptez 50 minutes environ en voiture. Empruntez l’autoroute A 41 en direction de Chambéry – Turin- Milan sur environ 10 kilomètres avant de prendre la sortie 24.1 en direction de Villard-Bonnot. Rejoignez la route de Chambéry puis la direction Saint-Pancrasse, avant d’arriver à la Dent de Crolles.
Adepte de randonnée, parapente, spéléologie ou encore escalade ? Kazaden vous propose de nombreuses activités et des séjours outdoor d'exception auprès de professionnels encadrants reconnus dans leur profession.
Les plus belles aventures outdoor à découvrir sur Kazaden
Destination favorite des grenoblois et des chambériens, Le Lac du Crozet est un des plus beaux lacs du Massif de Belledonne, connu pour ses stations de sports d’hiver Chamrousse, Les 7 Laux ou Le Collet d’Allevard. Surplombant la vallée du Grésivaudan, cette randonnée vous offrira un panorama extraordinaire sur le Massif de La Chartreuse, opposé au Massif de Belledonne et notamment sur la Dent de Crolles, autre randonnée très prisée des habitants de la région. Lac incontournable de l’Isère, Le Lac du Crozet vous coupera le souffle tant par sa beauté, que par sa vue à « débordement » sur la vallée.
Infos importantes :
Dénivelé : entre 650 et 800 mètres (suivant le lieu de départ
Boucle : non, l’itinéraire aller-retour s’effectue par le même sentier
Temps : Comptez au total 4 à 5 heures de marche, dont minimum 2h30 à 3 heures de montée.
En partant du parking de Pré Raymond, situé à 1 372 mètres d’altitude, le sentier menant au Lac du Crozet est très bien indiqué dès le départ. Vous commencerez la randonnée sur un large chemin ombragé, assez raide, puis vous continuerez en forêt, empruntant des lacets très pentus, en direction du refuge de La Pra.
A la sortie du bois, le plus dur est fait – ou presque ! Continuez votre ascension au travers de roches et de petits ruisseaux qui peuplent le parcours, et surtout agréables l’été pour se rafraîchir. Vous finirez par arriver sur un petit plateau herbeux sur lequel il vous faudra suivre pendant une quinzaine de minutes le gros tuyau de canalisation qui amène l’eau à la vallée, avant d’arriver enfin sur le Lac du Crozet, situé à 1974 mètres d’altitude.
Il vous suffira de continuer la ballade sur le petit sentier à flanc du Lac du Crozet et de remonter les lacets au fond du vallon du Mercier. Arrivé au Col, vous bénéficierez, si le temps le permet, d’une vue splendide sur le refuge du même nom, sur le Lac du Crozet, de la vallée iséroise et du massif de La Chartreuse. Vous pourrez également admirer au loin les lacs alentours et la station de sports d’hiver Chamrousse.
Marmottes, bouquetins et autres petits animaux de la montagne pourront croiser votre chemin, en cas de faible affluence. Attention, prévoyez de bonnes chaussures de marche, montantes si possibles pour protéger vos chevilles ! Si vous souhaitez davantage d’informations sur l’équipement en randonnée, consultez notre article Bien s’équiper en randonnée.
Le Lac du Crozet et le Col de la Pra ont été le lieu de multiples expériences portant sur l’énergie hydraulique, menées entre autres par Aristide Bergès. Ce propriétaire en 1869 d’une râperie de bois à Lancey est célèbre pour ses travaux sur les turbines hydrauliques et en tant qu'inventeur de la « Houille Blanche » lors de l’Exposition Universelle de Paris en 1889. Afin de compenser les débits d’eau irréguliers des ruisseaux pour sa papeterie, Aristide Bergès a effectué de nombreux travaux d’aménagement sur le Lac du Crozet, lui conférant un apport d’eau suffisant et régulier toute l’année. Le Col de la Pra, quant à lui, est équipé d’un répartiteur de débit. Pour connaître l’histoire complète de ce site historique, vous pouvez vous rendre sur le site de Grenoble INP.
Le Lac du Crozet n’a plus sa renommée à faire, ce qui explique la fréquentation importante du lieu, particulièrement en saison estivale. Partez tôt le matin ou assez tard dans l’après-midi pour admirer le lieu au calme. Bien entendu, l’effet de débordement est le plus spectaculaire à la fin du printemps ou au début de l’été, lorsque la neige a suffisamment fondue. Les sentiers de forêt n’étant ombragés qu’au début de la randonnée, nous vous conseillons de prévoir chapeaux, lunettes de soleil, crème solaire et beaucoup d’eau pour vous hydrater, car les deux tiers de la ballade se font à travers cailloux et roches en plein soleil. En automne, les forêts environnantes offrent un mélange de couleurs rouges-orangées-jaunes, presque surnaturelles, qui valent le coup d’œil !
Depuis Grenoble, le Lac du Crozet se situe à environ 27 kilomètres en voiture, comptez donc 45 minutes pour vous y rendre. Prenez la direction Chambéry (par l’A 41), puis empruntez la sortie 25 en direction de Domène/ Montbonnot-Saint-Martin. A partir de Domène, suivre la D 11 en direction de Revel et de Freydières. Arrivé à ce dernier point, continuez sur la route à gauche sur 1 kilomètres environ, en très mauvais état, jusqu’au parking du Lac du Crozet, situé à 1 372 mètres d’altitude.
Depuis Chambéry, comptez 60 kilomètres en voiture en empruntant les autoroutes A 43 et A 41 en direction de Grenoble, puis suivez la D 10 en direction de La Combe-de-Lancey.
A noter que si vous vous arrêtez au premier parking de droite (avant d’emprunter le dernier kilomètre peu praticable), vous pouvez également réaliser la randonnée du Grand Colon (1000 mètres de dénivelé positif).
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Les Cinque Terre, classées au patrimoine de l’Unesco depuis 1997, font partie des plus belles régions d’Italie. Situées à quelques heures seulement de la France et petit coin de paradis unique au monde, les Cinque Terre sont constituées de cinq petits villages médiévaux blottis au ras des collines et plongeant sur la face Méditerranéenne, en Ligurie italienne. Pour les adeptes de la randonnée, les cinq villages sont reliés entre eux par des sentiers pittoresques, parfois à flanc de falaise, bordés de pins, d’agrumes et de vignes typiques de la région.
Dans cet article, nous revenons sur les activités à réaliser dans cette destination sportive de charme, incontournable en Europe.
Sachez, tout d’abord, que les Cinque Terre sont formées de 5 charmants villages - Monterosso al Mare, Vernazza, Corniglia, Manarola et Riomaggiore - entourés de deux plus grandes villes - Levanto et La Spezia, cette dernière étant très célèbre pour son immense port militaire et pour son ouverture magnifique sur le Golfe des Poètes.
Pour les adeptes de marche à pied, c’est l’endroit incontournable pour mêler visites culturelles et évasion en pleine nature. De nombreux sentiers parcourent ce parc légendaire, permettant de rallier les différents villages de Portovenere jusqu’à Levanto (environ 70 kilomètres au total).
Deux types de sentiers sont accessibles en fonction de votre condition physique. Les sentiers bleus longent directement la mer et sont plus faciles en termes de dénivelé. Les sentiers rouges, situés sur les moyennes crêtes, surplombent les collines vertigineuses et la côte méditerranéenne, offrant une vue imprenable sur les villages. Les chemins bleus sont payants, donc n’oubliez pas de vous munir d’un peu d’argent pour vous affranchir du droit de passage.
A noter cependant, qu’en 2011, une catastrophe naturelle a frappé le parc national des Cinque Terre, détruisant bon nombre de sentiers. Seuls les sentiers bleus reliant Monterosso Al Mare à Vernazza, et Vernazza à Corniglia sont ouverts. Le reste des randonnées s’effectuera obligatoirement par les sentiers rouges.
Nos deux sentiers coup de cœur :
- De Levanto à Monterosso par les ruines de l’Hermitage Saint Antoine : ce sentier offre une vue imprenable sur Levanto d’une part et sur toute la côte avec les quatre villages alignés, (Monterosso, Vernazza, Corniglia, Manarola) d’autre part. Le sentier revêt différentes caractéristiques, tantôt promenade sous des pinèdes méditerranéennes ombragées, tantôt à travers les champs de vignes ou des arbres fruitiers (figuiers, néfliers, pruniers…).
- De Portovenere à Riomaggiore par le Telegrafo : au départ de Portovenere et du château, la montée est assez raide dès le début, ponctuée de nombreuses marches, mais très vite vous prendrez de la hauteur et vous profiterez d’un panorama splendide sur le Golfe des Poètes et des îles environnantes. Le chemin est assez difficile et long, alternant entre parois rocheuses abruptes (sans protection) et chemins assez larges. Le panorama, toutefois, sur la côte des Cinque Terre, vu de la pointe opposée à Levanto, est incroyable et la descente par les marches sur le village de Riomaggiore mythique, à travers les petites maisons, les parterres cultivés et le port.
Si vous souhaitez partir bien préparé(s), n'hésitez pas à consulter notre article sur l'équipement pour la randonnée.
Les Cinque Terre se découvrent également en VTT, qui peuvent éventuellement se louer à Levanto ou à La Spezia. En empruntant la crête haute, vous pourrez parcourir en 15 kilomètres environ (aller), toute la côte de Monterosso à Riomaggiore (si vous ne descendez pas sur les villages). La vue y est à couper le souffle et c’est aussi une autre manière de découvrir ces paysages escarpés et d’admirer les vignobles qui peuplent les collines. Si vous décidez de descendre dans chaque village, préparez-vous à affronter un dénivelé positif très important à la montée du retour.
Pour les personnes plutôt en quête d’activités aquatiques, le Parc des Cinque Terre a conservé une faune et une flore exceptionnelles, véritable paradis pour les adeptes de plongée sous-marine. Les falaises tombant à pic dans la Mer Méditerranée offrent de nombreuses caches pour des poissons colorés et emblématiques. Chaque village est doté d’un ou plusieurs clubs nautiques, vous permettant de réaliser facilement cette activité sur toute la côte. Pour trouver un club nautique aux Cinque Terre, rendez-vous sur le site de la plongée sous-marine du Parc.
Depuis leur entrée au patrimoine de l’Unesco et la création du Parc National, les Cinque Terre sont devenues extrêmement touristiques, particulièrement en période estivale. Les sentiers sont bondés de monde, ce qui peut s’avérer parfois dangereux car ces derniers sont très étroits et souvent non sécurisés sur la pente. Il vous sera alors difficile d’avancer à votre rythme, de profiter des panoramas splendides et surtout vous ne ressentirez pas ce dépaysement dans cette nature si caractéristique du site en basse saison.
Entre mars et mai, la période des agrumes vaut le détour. Les sentiers sont bordés d’une quantité faramineuse d’orangers et de citronniers, comme il en existe peu en France.
Depuis la France, comptez environ 3h30 de voiture depuis Nice en empruntant l’autoroute A10 et A12 pour vous rendre à Monterosso al Mare, itinéraire passant par Gênes. Si vous n’êtes pas pris par le temps, profitez de vous arrêter visiter cette superbe ville, riche en histoire. Des parkings sont accessibles à l’entrée des villages (mais arrivez tôt le matin, car ils affichent rapidement complets en haute saison). En cas de fatigue pendant vos randonnées, pas de panique, vous pourrez emprunter le train régional qui s’arrête dans chacun des villages. Les liaisons sont faites en quelques minutes.
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Découvrez notre formule rando aux Cinque Terre
Le Lac du Monteynard ravira tous types de sportifs tant par sa beauté que par le nombre d’activités proposées sur le site. Situé à proximité de Grenoble, ce lac est une bouffée d’air frais pour des week-ends loin de la ville, au cœur d’une nature époustouflante. Vous pourrez notamment relever le challenge de traverser les deux imposantes passerelles himalayennes, uniques en Europe et situées sur le parcours, tout autour du lac. Dans cet article, nous revenons sur toutes les opportunités offertes par ce lieu unique en France.
Par ailleurs n'hésitez pas à vous rendre sur Kazaden.com si vous souhaitez connaître les autres activités outdoor de la région grenobloise !
Situé non loin de Grenoble (environ 30 minutes en voiture), le Lac du Monteynard est un lieu naturel et protégé à seulement 500 mètres d’altitude. En 1962, EDF construisit un barrage au pied du Sénépy (montagne culminant à 1 769 mètres d’altitude) qui donna lieu à ce site d’exception. Réputé pour ses activités nautiques lors de la saison estivale, telles que le kite-surf, la planche à voile, la pêche, le ski nautique ou le canoë, le site du Monteynard est également propice à de magnifiques randonnées dans les environs. Les eaux turquoises et presque irréelles, caractéristiques du Lac du Monteynard, s’étendent sur près de 20 kilomètres de long.
Le Lac du Monteynard est le lieu parfait pour une randonnée en famille ou entre amis. Le tour du lac est facilement réalisable à pied (12,5 kilomètres environ) et très peu dénivelé (400 mètres de dénivelé positif). De mai à octobre, un bateau reliant Mayres-Savel à Treffort (réservation obligatoire), vous permettra d’effectuer une boucle complète de ce lieu magique. Si la liaison en bateau n’est pas assurée, il est tout à fait possible de revenir au point de départ par le même sentier.
Se promener autour du Lac de Monteynard offre une vue splendide sur tous les massifs environnant. Vous pourrez ainsi observer les massifs de L’Oisan, du Vercors et de Belledonne. En automne, la randonnée prend des couleurs orangées, jaunes, rouges extraordinaires, dignes des plus belles forêts canadiennes.
Par ailleurs, le principal intérêt de la balade porte sur les imposantes passerelles himalayennes du Lac du Monteynard. Deux passerelles géantes relient les différents vallons du parcours : La Passerelle du Drac et la Passerelle de l’Ebron. Attention toutefois, ces passerelles suspendues peuvent freiner les personnes sujettes au vertige tant elles sont impressionnantes par leur hauteur mais également parce qu’elles bougent lorsqu’on s’y déplace ! La Passerelle de l’Ebron, longue de 180 mètres et large de 1,20 mètres, peut atteindre 85 mètres de haut, selon la hauteur des eaux. La Passerelle du Drac est légèrement plus longue (220 mètres) mais sensiblement à la même hauteur.
Si vous partez de Treffort (parking des Vignes), comptez environ 2,5 kilomètres, soit une petite demi-heure, avant d’atteindre la première passerelle : la Passerelle de l’Ebron. Une fois la passerelle traversée, continuez en direction de la passerelle du Drac située environ à 5 kilomètres.
De nombreuses aires de pique-niques, dans des coins ombragés, vous attendront, tout au long du parcours, pour une petite pause bien méritée. Besoin de conseils pour partir en randonnée ? Consultez notre article Equipement pour la randonnée : bien se préparer pour une randonnée parfaite autour du Lac du Monteynard.
Si l’on vous disait que vous pouviez faire du kite-surf sur une eau turquoise, presque irréelle, vous nous croiriez ? Le lac, de par sa situation géographique particulière, se trouve animé par un vent thermique régulier, ce qui en fait un spot incroyable pour la planche à voile et le kite surf, mais pas seulement !
Le Lac du Monteynard possède une base nautique assez développée et propose aux plus sportifs diverses activités telles que, entre autres : du ski nautique, du canoë-kayak et du paddle. Retrouvez toutes les informations liées aux activités nautiques proposées au Monteynard sur le site du Monteynard.
Si vous souhaitez découvrir le Lac du Monteynard, deux solutions s’offrent à vous : direction Treffort ou direction Mayres-Savel, respectivement à 36 kilomètres et 50 kilomètres de Grenoble. Depuis Grenoble, nous vous conseillons cependant de vous garer à Treffort, de par sa proximité mais également par les parkings accessibles (celui de la base nautique et le parking des Vignes) beaucoup plus grands qu’à Mayres-Savel.
En voiture, depuis Grenoble, prenez la rocade en direction des stations de ski de l’Oisan (A 480 puis A 51 – suivre Gap/Sisteron/Nice) puis prendre la sortie 13 en direction du Lac du Monteynard/ Treffort.
Vous pouvez désormais profiter du Lac de Monteynard et de toutes ses richesses. Par ailleurs, le site Kazaden.com vous propose de nombreuses activités et séjours outdoor dans la région.
