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Tour des Annapurnas, échappée népalaise en duo

Expatrié pendant 3 ans en Inde, Romain a entrepris fin 2017 de réaliser le Tour des Annapurnas en trek. Suivi dans ce projet par son amie Philippine, qui l'a rejoint à Katmandou pour l'occasion, il nous raconte la progression du duo à travers ce sentier mythique, dominé par les géants himalayens. Récit. Voilà longtemps que je […]

Expatrié pendant 3 ans en Inde, Romain a entrepris fin 2017 de réaliser le Tour des Annapurnas en trek. Suivi dans ce projet par son amie Philippine, qui l'a rejoint à Katmandou pour l'occasion, il nous raconte la progression du duo à travers ce sentier mythique, dominé par les géants himalayens. Récit.

Voilà longtemps que je l’attendais celui-là ! Deux semaines presque coupé du monde en randonnée dans l’Himalaya. Pour l’occasion Philippine s’est motivée et nous nous sommes retrouvés le 12 novembre à Katmandou.

Quartier de Thamel à Katmandou (c) Romain Hillion

Katmandou est de loin la ville la plus importante du pays. Le quartier touristique des trekkers (Thamel) met tout de suite dans l’ambiance. Petites rues partiellement couvertes de drapeaux de prières bouddhistes avec encore quelques vieux bâtiments où les touristes et les locaux s’activent comme dans une fourmilière. Des échoppes en pagaille proposent de l’artisanat local mais surtout du matériel de montagne, des voyages organisés, des guides… comme je vous le disais on est vite dans l’ambiance et on comprend rapidement l’importance de l’alpinisme dans l’âme du pays. La pollution brûle malheureusement un peu les poumons mais on pense aux montagnes qui nous attendent. Les népalais sont tous très sympas et serviables et le tourisme une activité vitale pour l’économie du pays même si des groupes étrangers ont la main mise sur les secteurs à hauts profits. En arrivant, la simplicité d’organisation des transports et des permis de randonnée a été un vrai bonheur de facilité, ça change de l’Inde.

Ruelles de Katmandou (c) Romain Hillion

Vers le départ : Katmandou - Jagat

Le lendemain matin nous étions donc dans le bus, puis 8h de route plus loin dans la ville de Besisahar, aux portes du parc des Annapurnas. Le bus local est une expérience remuante, les routes sont souvent cabossées et les arrêts pour récupérer (ou kidnapper ?) les passagers sont fréquents. Dans le bus il y a le chauffeur et celui que nous appellerons « Le King du bus » (copyright Philou) qui s’occupe de faire payer les billets, placer les gens, et faire du racolage par la porte ouverte. Je disais kidnapper car nous ne sommes pas bien sûrs que certains des petits vieux qu’il a fait monter dans le bus avaient vraiment envie de venir. Mais ils étaient certainement très heureux de se retrouver à Besisahar en fin de journée. Dans ce bus nous avons fait la connaissance de Uta et Philip, un couple d’allemands qui allaient être nos compagnons de voyage jusqu’au bout et avec qui nous avons passé un super séjour.

Trajet en Bus Katmandou-Besisahar (c) Romain Hillion

Nous sommes donc maintenant à Besisahar, n’étant pas sûrs du timing général du voyage nous préférons gagner un peu de temps sur les premières étapes et décidons de commencer le trek en jeep jusqu’à Jagat, jeep que par chance nous avons pu prendre juste après le bus et éviter de perdre une demi-journée en dormant à Besisahar. Une piste que le sentier du tour des Annapurnas rejoint régulièrement permet en effet d’aller jusqu’à Manang. Un peu coupables de commencer en trichant, le trajet s’est finalement révélé plus sportif que prévu étant donné l’état de la piste ! Après 3h de route pour 30km nous voici à Jagat. La nuit est rapidement tombée après notre départ mais les paysages étaient de type tropical-montagne, palmiers, rizières, chaleur, et des parois escarpées avec une rivière en contrebas de la vallée. Je précise car un des charmes de ce trek consiste à voir les paysages se transformer à mesure que nous grimpons.

Parcours du Tour des Annapurnas (c) Romain Hillion

Jagat donne le ton de ce que nous connaitrons en termes de logement pour la suite de l’aventure. Petits hôtels en pierre proposant parfois des douches presque chaudes avec une salle commune comportant idéalement un poêle. Idéalement, car le poêle est la seule source de chauffage avec le feu de la cuisine, et encore, mieux vaut ne pas en être trop loin.  Dans les premiers villages nous ne nous en soucions pas mais par la suite les températures ont commencé à être un peu plus extrêmes dans les chambres !

Etape 1 : Jagat (1 300 m) – Dharapani (1 860 m) 16 km

Mardi matin, ça y est ! C’est le grand jour. Il est 7h30, nous voilà partis, les sacs sont harnachés, les bâtons déployés et les gourdes remplies. Pour éviter la route nous décidons de prendre un chemin alternatif longeant l’autre côté de la rivière. Une bonne heure après nous voici en haut de la montagne qui faisait face à l’hôtel et toujours pas de chemin…

Leçon N°1 : pas de chemin alternatif.

Il est 9h30, nous sommes de retour au point de départ, devant l’hôtel. Ca y est, cette fois c’est parti ! Les sacs sont harnachés, les bâtons déployés et les gourdes re-remplies. Nous avons perdu 2h mais la vue était jolie… on se console comme on peut.

Sur cette première portion nous suivons alternativement la route et un chemin de l’autre côté de la rivière, traversant au gré des ponts suspendus qui sont un petit plaisir à chaque fois. Sans encombre nous arrivons à Dharapani, le chemin montait plutôt tranquillement sans grande difficulté. Les environs sont encore verdoyants mais les palmiers perchés sur les flancs alentours ont disparu. Il commence à faire un peu frais la nuit. Dans la salle commune nous retrouvons quelques personnes de notre hôtel de Jagat que nous recroiserons régulièrement pendant le voyage. On échange les contacts afin d’essayer de se retrouver quand nos étapes se correspondent. C’est bonne ambiance, on est tous copains.

Vue sur le village de Jagat (c) Romain Hillion

Etape 2 : Dharapani (1 860 m) – Dhikur Pokhari (3 060 m) 27 km

Nous voici sans le savoir prêts à attaquer une des plus grosses étapes du séjour. Départ au petit matin sur des bases de chemins relativement similaires à celles de la veille. Les sommets enneigés commencent à apparaitre donnant le sentiment de marcher vers des géants. Ça monte et ça descend un peu plus que la veille avec parfois des groupes un peu plus nombreux que nous essayons vite de semer à chaque fois. Dans l’ensemble nous n’avons pas souffert du monde, nous avons même été très tranquilles pendant les marches, mais sur certaines portions certains jours c’était un peu plus chargé.

L'équipe de choc devant le Manaslu (c) Romain Hillion

Après un déjeuner dans un petit village nous continuons notre route vers Chame qui était l’étape classique car village assez gros avec quelques boutiques et plein d’hôtels. Comme il n’est pas trop tard nous y faisons simplement le plein d’eau à la station d’eau potable et décidons de dormir au petit village suivant pour prendre un peu d’avance.

Leçon N°2 : quand le village est petit on demande combien d’hôtels s’y trouvent et on appelle avant pour savoir s’il y a des chambres libres (sauf si on passe par une agence qui a tout préparé avant !).

Nous apprenons donc notre leçon N°2 en ne trouvant dans le village qu’une étable, un hangar à foin et un unique hôtel déjà complet. Les jambes commencent à être lourdes (surtout en s’étant fait à l’idée que nous avions fini notre journée). Mais comme nous sommes des warriors (et qu’on ne va pas dormir dehors !) nous poussons jusqu’au village suivant plus gros avec des hôtels confortables (avec un matelas de plus de 10 cm d’épaisseur quoi) où nous arrivons à la nuit tombée dans le froid. Cette grosse étape nous permettra de considérablement alléger le planning des jours suivants.

Vue sur le Manaslu pour le déjeuner (c) Romain Hillion

Etape 3 : Dhikur Pokhari (3 060 m) – Nawal (3 660 m)

Sur cette étape le choix s’offre à nous de passer par la route pour rejoindre directement Manang (la grosse « ville » du parc naturel) ou de faire un crochet en altitude par un village intermédiaire. Nous avons triché au début mais pas ce coup-ci, ce sera le crochet en altitude qui nous offrira parmi les plus belles vues du séjour. La marche commence paisiblement, nous quittons les dernières forêts. Après Upper Pisang nous arrivons au pied d’une bonne grimpette en haut de laquelle le déjeuner nous attend avec une vue sublime sur la vallée et l’Annapurna II.

Vue sur l'Annapurna II (c) Romain Hillion

La suite est moins pentue, nous longeons les flancs de montagne avec chaque détour comme autant de fenêtres s’ouvrant sur un paysage grandiose. Le soleil disparaît rapidement derrière les montagnes et nous arrivons dans l’ombre de la fin de journée au village suivant saisis par un vent à décorner les yaks (que nous croisons fréquemment sur le sentier). Comme tous les soirs tentative de douche, jeux de carte (si possible pas trop loin du poêle !), du thé (beaucoup de thé !), puis diner copieux. Les hôtels ont quasiment tous des cartes plutôt généreuses, moi qui m’attendais à devoir récupérer avec du dal tous les soirs c’est finalement grand luxe.

Etape 4 : Nawal (3 660 m) – Braga (3 360 m)

Réveil sous la neige qui ne tarde pas à fondre avec l’arrivée du soleil. Si les nuits sont glaciales, les journées sont très agréables car le soleil chauffe bien (nous sommes au niveau des tropiques). Et nous avons eu un temps de fou, grand ciel bleu presque tous les jours avec au pire quelques nuages. Le froid arrivait avec le vent qui se lève vers midi.

Réveil à Nawal sous la neige (c) Romain Hillion

Nous descendons tranquillement vers Braga où nous passerons la nuit profitant d’une vue exceptionnelle sur la vallée. Après le déjeuner et après avoir pris nos quartiers nous partons voir la grotte de Buddha perchée un peu plus haut sur les flancs de l’Annapurna III. Comme ça faisait longtemps, nous nous trompons de chemin et nous retrouvons dans un pierrier couvert de neige formé par l’eau qui descend du glacier au-dessus mais qui part en direction de la grotte. Après une heure de marche le fait est établi que nous ne trouverons pas de chemin.

Les filles font demi-tour pour tenter de trouver le sentier au point de départ (l’appel de l’hôtel sera finalement plus tentant que celui de la grotte une fois le sentier trouvé). Côté garçon, comme les garçons c’est co… (heu…courageux ? mouai… passons) nous continuons sur le pierrier en se disant que si à 15h la grotte n’est pas en vue nous ferons demi-tour. Le pierrier est à peu près carrossable c’est jouable. Finalement nous avons atteint la grotte vers 16h sans trop d’acrobaties. Les vues étaient chouettes au pied du glacier de l’Annapurna III mais rien d’exceptionnel (c’était très beau mais on devient exigeant avec ce qu’offre le reste du parcours). La plus grande satisfaction était d’avoir atteint la grotte ! Nous redescendons alors par le sentier qui sinue à travers les sapins qui ont fait leur retour pour aller faire sécher nos chaussures à l’hôtel.

Bilan des courses, 2h30 à la montée, 45mn à la descente.

Leçon numéro 3 : C’est bien aussi le sentier.

Vue en descendant vers Braga (c) Romain Hillion

Etape 5 : Braga (3 360 m) – Ice Lake (4 650 m) – Manang (3 540)

Objectif lce Lake, perché à 4650 m d’altitude soit 1300 m plus haut. Cette randonnée à la journée, outre le fait qu’elle soit jolie, est aussi un vrai premier test d’altitude pour voir si tout le monde tient le coup.

Le chemin vers le lac est exceptionnel, offrant sans hésiter parmi les plus beaux panoramas du voyage. A mesure que nous montons, la chaîne des Annapurnas dévoile un par un ses sommets, bordés à leurs pieds par la vallée qui s’étire à l’horizon. Les petits arbustes aux odeurs de maquis laissent place à un sol plus désolé. A l’approche du sommet ne poussent plus que des cailloux. Nous finissons la marche sans trop de difficultés pour trouver le lac qui porte bien son nom, mais les pas se font plus lents, l’effet d’altitude commence à se faire sentir. Le vent glacial pousse les marcheurs à vite s’abriter derrière une petite construction en pierre à proximité de l’eau.

Après un petit tour des environs nous rebroussons chemin pour redescendre dans la vallée avec toujours ces vues incroyables dopées par une météo magnifique. Le vent s’est renforcé et nous pousse à descendre plus vite.

Vue sur la chaîne des Annapurnas (c) Romain Hillion

Une fois à Braga nous récupérons les sacs et nous dirigeons vers Manang 2 km plus loin pour y passer la nuit. Manang est la ville principale du parc, c’est aussi là que la piste carrossable s’arrête. A partir de maintenant c’est un chemin sans détour vers le fameux col de Thorong La qui nous attend. Notre hôtel offre une salle commune confortable dans une ambiance de chalet alpin où nous avons même chaud pour la première fois depuis quelques jours et la dernière avant Muktinath de l’autre côté du col. Température annoncée la nuit, -16°C.

Etape 6 : Manang (3 540) – Yak Kharka (4 018 m)

Comme nous allons monter assez haut en altitude nous réduisons considérablement les distances des étapes pour laisser à nos corps le temps de s’acclimater. Nous prendrons deux jours pour atteindre le pied du col. A partir de maintenant nous ne logeons plus vraiment dans des villages mais plutôt des hameaux de refuges pour randonneurs. En milieu d’après-midi du 2ème jour, nous arrivons à Yak Kharka (4018 m), peu de temps avant d’arriver nous avons quitté les derniers arbres. Et qui dit moins d’arbres dit moins de bois pour le poêle, alors que les nuits deviennent vraiment très très fraîches !

Vue depuis Yak Kharka (c) Romain Hillion

Etape 7 : Yak Kharka (4 018 m) – Thorung Phedi (4 450 m)

Encore une petite étape qui nous conduit au pied du col à Thorung Phedi (4450 m), presque à la hauteur du Mont Blanc. Nous profitons du soleil de l’après-midi pour nous réchauffer. Quelques chamois, chevaux et yaks tournent autour du camp. Philou, Philip et Uta partent reconnaître la montée qui nous attend demain. Dès que le soleil disparaît nous nous empressons de remettre des couches, la température est en chute libre. Dans la salle commune les alentours du poêle ressemblent à bout de banquise sur lequel viennent s’entasser les pingouins. Finalement vu le peu de bois disponible ce sont surtout les épaisseurs de vêtement qui seront salvatrices. Dès que la porte s’ouvre pour laisser entrer ou sortir quelqu’un on peut sentir toute la salle grelotter et c’est ce soir-là que nous aurons battu notre record de consommation de thé. Aucune idée de la température dehors mais il fait vraiment très froid.

Leçon numéro 4 : le thé, qu'il fasse très chaud ou très froid, c'est la clé !

Paysage minéral vers Thorung Phedi (c) Romain Hillion

Etape 8 : Thorung Phedi (4 450 m) – Thorung La Pass (5 416 m) – Muktinath (3 760 m)

4h du matin, ça y est c’est le grand jour. Nous prenons notre petit déjeuner et nous mettons en route. Il fait encore bien nuit et vues du bas les lampes frontales parsèment la montée. Je pense que j’ai sur moi presque toutes les affaires que j’avais dans mon sac. En quelques minutes les tuyaux de nos camel-backs sont tous gelés. L’eau gèle également partiellement dans les gourdes. Après une montée assez raide nous arrivons à l’aurore au Camp de Base (4925 m). Un petit thé et c’est reparti. Le soleil fait bientôt son entrée et met plus de temps que les autres jours à réchauffer l’air. La route pour le col est alors une succession de six ou sept plateaux, on se demande à chaque fois si le sommet est en haut de la montée. La pente s’est réduite mais chaque pas est un pas de moins, impossible d’accélérer sans perdre son souffle. Il faut prendre son temps et rester concentrer.

Leçon numéro 5 : au délà des 5 000 m d'altitude, on réduit le rythme (250m de dénivelé par heure max)

Et finalement après quelques heures d’efforts nous voici au col de Thorung La (5 416 m), le paysage est lunaire. Pour tout le monde c’est la joie d’avoir surmonté l’épreuve, ce qui n’était pas gagné d’avance, pas mal de gens ne tiennent pas jusqu’au bout à cause de l’altitude. Pas un nuage à l’horizon, c’est magique. On sent tout le corps qui se relâche. Nous trouvons même l’énergie de grimper une petite colline à proximité. Et finalement après ce moment d’émotion il est temps d’attaquer la descente sur l’autre versant avec là encore des paysages somptueux.

Montée vers le Col de Thorong La (c) Romain Hillion

A la descente c’est l’effeuillage, le soleil chauffe, l’altitude diminue, les couches tombent les unes après les autres. Et finalement c’est en chemise que nous arrivons sur les hauteurs de Muktinath pour déjeuner. Puis après une bonne heure de marche nous voici en ville. Ça y est, nous l’avons fait ! Nous sommes encore à 3760 m d’altitude mais après avoir descendu 1650 m de dénivelé nous avons l’impression d’être arrivé en plaine.

Arrivée à Muktinath (c) Romain Hillion

Etape 9 : Muktinath (3 760 m) – Jomson (2 720 m)

Celle-là n’était pas prévue au programme. Nous suivons finalement Uta et Philip pour une journée de marche en plus jusqu’à Jomson en passant par  le magnifique village de Kagbeni, l’oasis des montagnes.

Le village de Kagbeni, végétation en pleine haute montagne (c) Romain Hillion

Jusqu’à Kagbeni nous suivons une improbable magnifique route goudronnée qui s’arrête avant le village (on se demande un peu qui a eu l’idée de goudronner juste cette portion). Puis jusqu’à Jomson nous suivons la piste qui de temps à autre fait des détours par le grand lit de la rivière majoritairement à sec. A Jomson finit le charme des petits villages, la ville est un peu décevante et nous y réservons le bus qui nous ramènera le lendemain à Pokhara (11 ou 12h de pistes et routes de montagne) puis le surlendemain un autre bus pour Katmandou puis le vol retour pour la maison. Vol magnifique après le décollage où le couloir aérien nous faisait longer l’Himalaya avant de plonger plein sud vers l’Inde. Histoire de dire un dernier au-revoir aux sommets enneigés.

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